L’an passé, le tout premier festival français de littérature israélienne voyait le jour. Une réponse à la demande croissante de cette littérature en France, où la perception de la culture israélienne change, se débarrasse peu à peu de persistants a priori d’ordre politique. L’année 2008 fut certainement la plus déterminante pour le lectorat français. Israël, invité du Salon du livre, tout en fêtant son soixantième anniversaire : le symbole était si fort que le président de l’État hébreu, Shimon Peres, est venu lui-même inaugurer l’événement. Près de 40 écrivains israéliens de langue hébr...
De l’engagement politique à l’intime
Article publié dans le n°1179 (16 sept. 2017) de Quinzaines
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