Cette découverte surprenante fut faite dans les années 1980. Plus récemment, on a montré que la neurogenèse adulte existe aussi chez les souris, et même chez l’homme, là aussi au niveau de l’hippocampe. Elle n’est qu’une des manifestations de la plasticité du cerveau : sa capacité de se modifier, un des facteurs qui relient le vécu individuel à l’évolution de l’espèce. Comment englober nos connaissances sur le vivant dans une théorie unique qui intégrerait nos connaissances de génétique, du développement des individus et de l’évolution des espèces ? C’est à cette quest...
Nous ne sommes pas des singes
Article publié dans le n°1070 (16 oct. 2012) de Quinzaines
Qu'est-ce que le vivant ?
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)