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Un défenseur de l'ordre : Jean Cocteau

Si sa poésie est flamboyante d’énigmes, la personnalité de Jean Cocteau semble beaucoup plus lisible. Il le disait lui-même : «Vous découvrirez plus tard que je fus un défenseur de l’ordre. »
Jean Cocteau
Le coq et l'arlequin, 1918 (Stock)
Jean Cocteau
Opium, 1930 (Stock)

Beaucoup de poètes de l’entre-deux-guerres n’ont jamais « gagné » leur vie. Cocteau en est l’archétype. (Son frère était agent de change, sa famille fort aisée.) Il a beaucoup posé à « l’enfant » (Les Voleurs d’enfants est la réussite totale de ce lecteur de la comtesse de Ségur).


En fait, il jouait. Il s’est amusé – avec prudence – de son inversion ; il faut ici se méfier :  quand il eut un fils de la princesse géorgienne Nathalie Paley, il lui en voulut à mort de s’être fait avorter (c’était un garçon) et ne l’appelait plus, même en public...

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