En 1943, l’auteur de La Victoire à l’ombre des ailes a 16 ans. Sa précocité peut paraître invraisemblable, mais il a effectivement déjà tout lu, à commencer par Breton, les surréalistes, qui l’ont formé, et Julien Gracq dont on sait grâce aux recherches de Bernard Cadoux, Jean-Paul Lebesson et François-René Simon que Rodanski avait pu le découvrir dès cette année dans la revue lyonnaise Confluences, et qu’après Au château d’Argol, Un beau ténébreux aura été important pour lui. Il est évidemment un des « adorateurs de la haute trilogie du mal : Sade, Ri...
Un soleil noir du Surréalisme
Article publié dans le n°1064 (01 juil. 2012) de Quinzaines
Stanislas Rodanski. Eclats d'une vie
(Fage)
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