Sur le même sujet

A lire aussi

Livres des mêmes auteurs

Voix, scènes, images pour obsessions et fantasmes

Dans cette « fantaisie littéraire » sur la vie de Valerie Solanas, la Suédoise Sara Stridsberg explore les multiples facettes d’une vie mal connue, dans un texte hybride et puissant – et montre comment la littérature peut dire beaucoup plus qu’une biographie.
Sara Stridsberg
La faculté des rêves

Nous sommes en avril 1988. Dans une chambre sordide d’un quartier de San Francisco, Valerie Solanas est en train de mourir, seule et camée. Le monde se souvient d’elle pour avoir un jour de 1968 tiré sur Andy Warhol, et pour avoir prôné la disparition totale des hommes dans un bref texte féministe, enragé et libertaire, le SCUM Manifesto. Du reste de sa vie, on ne connaît qu’une poignée de faits : violée par son père, prostituée, brillante étudiante en psychologie, un temps proche de Warhol, poursuivie pour tentative d’homicide, acquittée et internée, puis la drogue, le tro...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi