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Voyage en Albanie, des frontières innombrables

Georges-Henri Morin s’est rendu en Albanie en 1987. L’époque était critique pour ce pays. Enver Hoxha était mort depuis deux ans mais son successeur, Ramiz Alia, terne second couteau du régime qui avait survécu aux purges, ne fut qu’un docile suiviste.
Georges-Henri Morin
Carnets oubliés d'un voyage dans le temps

Incapable de modifier une trajectoire politique mortifère, le pays s’enfonça dans la misère et continua de se couvrir d’une multitude de grotesques petits champignons de béton armé, les blockhaus d’Enver Hoxha. Ils étaient destinés à endiguer l’invasion d’un « ennemi » multiforme et pervers, né de l’imagination des dirigeants d’un pays dont les habitants voulaient fuir. Contre toute évidence, Alia s’obstina à prétendre que les mouvements qui agitaient les pays de l’Est et l’URSS « révisionnistes » étaient sans rapport avec l’Albanie. Il refusa une ouverture prometteus...

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