La limpidité du texte, sa séduction risquent d’en masquer la puissance, pour ne donner à voir qu’un apologue sur la noblesse de la nature et la faiblesse (quand ce ne sont pas les bassesses) de l’homme. Beauté rimerait avec facilités, de celles que Proust dénonçait en écrivant : « les beautés que l’on découvre le plus tôt sont aussi celles dont on se fatigue le plus vite (…) quand elles se sont éloignées, il nous reste à aimer telle phrase que son ordre, trop nouveau pour offrir à notre esprit rien que confusion, nous avait rendue indiscernable et gardée intacte. (…) Et nous l’aimerons p...
Amateurs de sommets
Article publié dans le n°1042 (16 juil. 2011) de Quinzaines
Le poids du papillon
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