À Auguste Clésinger
Nohant 2 mai. [1854]
Ta fille se porte bien, elle est charmante et apprendra très bien, quand elle sera d’âge à soutenir son attention. Elle est adorée ici et ses belles couleurs, sa gaîté continuelle disent qu’elle est parfaitement heureuse. Il faut qu’elle ignore le plus longtemps possible les désaccords qu’elle ne comprendrait pas. Je ne crois pas qu’on ait le moindre projet de me la reprendre1. Sa mère est dans une position trop précaire pour ne pas désirer qu’elle reste ici dans un bien-être complet. Il me semblait que vos querelles éta...
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