Le premier d’entre eux, qui s’inscrit dans une sorte de continuité avec les ouvrages consacrés à Gaetano Benedetti puis à Roger Gentis (chez le même éditeur), confirmerait s’il en était besoin le talent de passeur de Patrick Faugeras, ce psychanalyste qui pour n’être pas psychiatre n’est pas moins savant en la matière que bien d’autres qui s’abritent derrière ce titre.
À travers ces quelque deux cents pages d’entretiens, Faugeras, par ses questions que son interlocuteur rend parfois insistantes tant il s’en évade, fait surgir un portrait de Jean Oury complémentaire mais différent...
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