De nombreux pronostics sur « la société de l’image », « la baisse de la lecture », « la culture de l’instantané » nous promettent d’ores et déjà un monde dans lequel « la littérature » (classique) n’aura plus sa place. De même que le droit canon n’est plus qu’une curiosité historique aux yeux de la plupart de nos contemporains, de même peut-on imaginer que la majorité de la population française ne comprenne plus, en 2100 ou en 2050 (ou peut-être dès 2010), l’intérêt d’écrire des livres, de publier des articles, d’organiser des colloques, de consacr...
Études littéraires et société de l’interprétation
Article publié dans le n°997 (01 août 2009) de Quinzaines
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