On rapporte encore que, du côté de la critique universitaire, il s’élabore des analyses fines mais que, perdues dans la pléthore des colloques, elles finissent dans des publications savantes que personne ne lit. On dit tant de choses que c’en est désespérant pour les critiques que nous sommes. Pourtant, si les écrivains ne veulent pas que la seule loi du marché décide du destin de leurs œuvres, ils ont intérêt à ce que survive une critique digne de ce nom.
Et, là-dessus, on se souvient d’un âge heureux où avaient lieu de véritables débats dans les pages littéraires de la presse e...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)