Me reviennent en mémoire aux heures tragiques que nous vivons, les réflexions de Georges Haldas sur le sujet de l’apocalypse qui l’occupait il y a dix ans, lors de l’un de nos entretiens hebdomadaires, chez lui au Mont-sur-Lausanne1. Il pressentait que l’avenir allait nous réserver de douloureuses surprises. Des mouvements sociaux, politiques, économiques de grande envergure en provenance, entre autres, du continent africain, bouleverseraient la planète, selon lui. Il ressentait ces événements comme s’ils flottaient déjà dans l’air, sans avoir besoin de recourir à la lecture o...
Georges Haldas, trop grand pour ne pas être méconnu
Article publié dans le n°1226 (01 mai 2020) de Quinzaines
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