Qui n’a pas été troublé, voire bouleversé, en découvrant certaines scènes réalisées par Richard Fleischer dans son film Soleil vert (1973) ? Par exemple celle où une « masse » échouée sur le rivage de l’Atlantique laisse découvrir les épis d’une couronne et une joue : c’est la statue de la Liberté à demi enfouie dans les sables. Elle a roulé dans l’océan et gît au soleil.
La planète est alors affamée, aux prises avec la surpopulation, la surexploitation, une surpollution. Plus aucune ressource naturelle. Plus aucune ressource. Une mort lente est assurée, sous le contrôle...
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