« L’élégant écrivain » que Consolo se gardait de nommer, on l’aura reconnu, était Gesualdo Bufalino, né à Comiso, en Sicile, dans la province de Ragusa, en 1920 et mort en ce même lieu, renversé par une voiture, en 1996.
Dans ce Musée d’ombres que les Cahiers de l’Hôtel de Galliffet nous propose en version bilingue, comme la plupart de ses titres, nous visitons ce théâtre de Comiso que l’auteur dans la seconde édition de 1993 présente comme « le récit d’un conte de fées ou d’un rêve » d’un temps révolu. Comme dans un musée, le lecteur s’attarde aux différe...
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