Le clin d’œil d’Angelo Rinaldi Il me semble que dans la vie comme dans l’Histoire une révolution ne s’annonce jamais. Ce matin-là, les yeux embrumés pour avoir été de garde, la nuit précédente dans ce journal de province où j’achevais mon stage, j’étais en retard. On m’attendait au Palais de Justice, la chronique judiciaire faisait aussi partie du lot de mes corvées à Nice.
Ce détail pour expliquer le passage, déjà, du facteur dans le quartier. Tiens, une lettre, et au timbre des Lettres Nouvelles. L’ouvrir tout de suite, lorsque depuis un an je ne récoltais que des refu...
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