L’auteur est un grand familier du pays pour avoir été, notamment, le correspondant à Moscou de l’hebdomadaire finlandais Kansan dans les années 1990. Il a choisi d’écrire ce reportage en espéranto, la langue qu’il parle dans l’intimité de son foyer, pour livrer un sentiment qui dépasse la langue ou la culture de chacun, la peur du retour des autoritarismes. Ce livre vient de recevoir le « Kanava award », prix finlandais récompensant la meilleure œuvre de non-fiction.
De la banlieue de Moscou jusqu’aux bourgades de Tchouvachie, à six mille kilomètres à l’est, lo...
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