Quelques grands noms de la littérature restent étroitement associés à la tauromachie. Pensons à Mérimée, Gautier, Hemingway, Leiris, Montherlant, García Lorca, Cocteau, Bataille… Qu’ils l’aient décrite, encensée, pensée ou simplement utilisée comme matériau fictionnel, ces auteurs ont été durablement marqués par le spectacle de la corrida. Pour discutable qu’elle soit, celle-ci semble distiller un philtre pouvant faire perdre la tête à quiconque entre un jour dans des arènes. On tombe en aficion un peu comme on tombe en amour. Par surprise. Pour s’en convaincre, il suffira de li...
Littérature et corrida
Article publié dans le n°1187 (01 févr. 2018) de Quinzaines
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