Sans retirer l’indéniable qualité du travail d’édition en ce qui concerne la présentation tant de l’homme que de l’œuvre, la richesse des interprétations et commentaires, une question tout aussi indéniable travaille le lecteur : pourquoi, et pour un livre aussi essentiel que Le Don (paru d’abord, sauf un chapitre, en feuilleton à Paris dans la revue de l’émigration Sovrémennye zapiski – Mémoires contemporains, d’avril 1937 à octobre 1938, puis en volume et toujours en langue russe, édition intégrale cette fois, à New York en 1952), où le rapport complexe et contrasté de...
Un écrivain russe
Article publié dans le n°1026 (16 nov. 2010) de Quinzaines
Œuvres romanesques complètes II
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