« Pendant longtemps on a considéré mon écriture trop radicale, trop éloignée de la théâtralité, trop violente, trop politique […] et aujourd’hui avec ce prix on me dit que mes textes ont leur place ici ». Ainsi s’exprimait Alexandra Badea, à la réception fin 2013, pour Pulvérisés (1), du grand prix de littérature dramatique, décerné par le Centre national du théâtre, en collaboration avec la SACD et le ministère de la Culture.
À trente-trois ans, elle bénéficiait d’une reconnaissance que toute son ac...
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