Pour clore son parcours au Centre dramatique national d’Aubervilliers, Didier Bezace a fait un choix surprenant : adapter à la scène un film, film roumain, fondé sur un retour en arrière de 2009 à 1953 et doté d’une dimension fantastique. En prenant ce risque, il a privilégié la possibilité de réunir de nombreux interprètes de ses précédents spectacles et de réaffirmer sa fidélité à un théâtre populaire. Dans une programmation très variée, depuis son passage de l’Aquarium à la Commune, la saison 1997-1998, il est régulièrement revenu à « l’art de représenter les humbles »,...
Aubervilliers, et après…
Article publié dans le n°1076 (16 janv. 2013) de Quinzaines
Que la noce commence
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