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Archéologie du passé

Le projet de l’auteur était d’écrire sur « la rupture anthropologique qui a eu lieu entre 1945 et 1980 » en prenant pour exemple V., un petit village du Doubs où il a grandi, et la vie de ses parents jusqu’à la mort de son père.

Ce récit autobiographique poursuit, dans l’ordre inversement chronologique, le projet que Ferrini menait dans le très réussi À Belleville (Le Temps qu’il fait, 2021). Son œuvre se rattache au courant de la littérature sociologique, dans le sillage d’Annie Ernaux, mais sur une tonalité plus apaisée. La douceur est partout. Certes, la mélancolie plane, mais elle est contenue, voire détournée grâce à l’habileté stylistique de l’auteur. Il recourt en effet à un genre littéraire qui lie la topographie et l’autobiographie, associant le moi à l’espace où il se meut. On croirait même pa...

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