J’apprends bien vite que ce poète absolu, ce révolutionnaire intégral qui bouleverse ma vie par sa manière d’être, d’agir, de penser et de créer, est parti rejoindre son fils Geyser au Brésil, à la suite de graves problèmes de santé, sanctionnés par une hospitalisation. C’est le 7 juin 1955 qu’il a débarqué à Rio de Janeiro, et ce n’est que fin avril 1956 qu’il reviendra en France, auprès de ses amis. Onze mois d’absence au cours desquels il a accumulé expériences, expéditions et écrits divers ; par exemple, son étude portant sur le « Quilombo des Palmares », cette révolte...
Benjamin Péret virgule même
Article publié dans le n°1116 (16 nov. 2014) de Quinzaines
Dans la zone torride du Brésil
(Ed. du Chemin de fer)
Le déshonneur des poètes et autres textes
(Acratie)
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