La Quinzaine littéraire – Pouvez-vous nous expliquer votre volonté de traiter la question du chef-d’œuvre en littérature ?
Charles Dantzig – C’est un mélange de sentiments qui m’a poussé à choisir ce sujet. À un moment où l’on parle de plus en plus de la littérature d’une manière funéraire, comme si celle-ci ne faisait plus partie de notre époque. Une époque déprimée et déprimante. Mais surtout j’ai voulu écrire contre l’ingratitude. C’est une dette de gratitude que j’ai envers la littérature, en fait. Ensuite, je me suis rendu compte...
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