On avait laissé François-Henri Désérable dans le sillage de Romain Gary à l’automne 2017. Sa quête autofictive l’avait conduit sur les traces d’un des personnages les plus infimes et les plus tristes du romancier : Piekielny[1]. On savait l’auteur féru de poésie, lui qui avait consacré une exofiction ébouriffante au « Rimbaud des mathématiques », Évariste Galois (1811-1832)[2] ; voici qu’il récidive et s’empare d’un thème on ne peut plus éculé, le sentiment amoure...
Historiographie d’un amour
Article publié dans le n°1239 (18 oct. 2021) de Quinzaines
Mon maître et mon vainqueur
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