Disons-le d’emblée, le début du Parfum vert ressemble à s’y méprendre à un roman de Jean Echenoz (d'aucuns diront, ne serait-ce qu’en voyant l’affiche : à une œuvre de Hitchcock). D’entrée de jeu, le film s’ouvre sur l’assassinat d’un comédien de la Comédie-Française en pleine représentation ; Martin, un autre membre de la troupe, se fait enlever dans la foulée sans rien comprendre à ce qui lui arrive, avant d’être rejeté en plein Paris le lendemain, hagard et fourbu. Entre les deux, au cours d’une scène à la campagne empreinte de politique et sise dans un...
Éloge du pastiche
Article publié dans le n°1250 (29 janv. 2023) de Quinzaines
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