Plusieurs années la pièce n’a été connue qu’en tapuscrit, puis en livre (1), ce qui a permis d’en découvrir la pleine originalité. Après la précision : « 3 voix qui se croisent (tranches 70/80 ans) », le texte se divise en trois colonnes, précédées une première fois de prénoms : Gary à gauche, Pierre au milieu, Marguerite à droite, seulement attribuées ensuite par l’emplacement sur la page et l’italique central, réparties entre monologues et répliques, plus ou moins longs, toujours en vers libres sans ponctuation. Il s’articule en cinq mouvements : « Dancing, Dimanche, l’ami...
L'Amour la dernière fois
Article publié dans le n°1127 (01 mai 2015) de Quinzaines
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