Pour la plupart d’entre nous, l’idiotie est synonyme de stupidité. Des héros de Dumb and Dumber (des frères Farelly) à l’idiotie non moins profonde de Wayne’s World (Penelope Spheeris), celle au grand cœur (tel Bourvil dans la plupart de ses rôles) ou celle qui entraîne la sympathie (le cinéma des frères Coen regorge de figures d’imbéciles : ainsi la quasi-totalité des protagonistes de The Big Lebowski, pour ne citer que lui) ou encore, dans un autre registre, celle de Michael O’Hara, le héros de La Dame de Shanghai, qui ne cesse de se lamenter au suje...
L’idiotie de cinéma
Article publié dans le n°1193 (01 mai 2018) de Quinzaines
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