Nous proposant une réunion de ses articles, l’auteur évite la synthèse pesante et impossible, et esquisse un parcours heureux où les thèmes et les aspects s’entrecroisent de loin en loin, laissant nombre de questions ouvertes, tant la question est vertigineuse.
D’abord le plus lointain, le plus abstrait pour un ethnologue, Homère, l’aède (« le chanteur »), l’aveugle, celui qui n’écrivait pas, et dont l’existence a fait couler tellement d’encre. L’auteur va sur les traces des philologues « homérisants », deux Américains, Milman Parry, auteur d’une thèse soutenue en 1928 à Paris, <...
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