Et Alain Joubert, dans sa présentation, a raison de piocher dans ce « grand surréalisme » qui est son obsession – un surréalisme hors limites (et non frontières), pour ainsi dire – des prédécesseurs qui, comme Cabanel, ont fait la nique au récit, à la narration, à tout ce qui s’écrit sous la surveillance de la rationalité tout en la parodiant. Il cible ce « retournement du langage » qui fait basculer le parler de la poésie sur un temps sans fil en un récit où propos et personnages, car il y en a, s’accrochent au fil du temps. Donc, l’Hommage à l’Amiral Leblanc, rédigé d...
Le cas peu banal de l'Amiral Leblanc
Article publié dans le n°1004 (01 déc. 2009) de Quinzaines
Hommage à l'Amiral Leblanc
(Ab irato)
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