Paris veut la fête et ses nuits blanches mettent jeunes et vieux sur le pavé. On a eu du fluo sur la façade de l’Hôtel de Ville, des transformations de l’espace par la lumière sur les ponts de la Cité et de l’île Saint-Louis et dans les églises, des jeux de lumière : des projections aléatoires liées aux créations électro-acoustiques qui dramatisent les grandioses voûtes de l’église Saint-Merri et lui vont à ravir, des flots de lumière et de fumées blanches plus convenus à Notre-Dame, un tamis de lumières bleues à l’Hôtel-Dieu et mille façons de redonner un sens neuf aux lieux de la quoti...
Quand le bonheur est dans la rue, Paris badaud
Article publié dans le n°1024 (16 oct. 2010) de Quinzaines
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