Sont-ils semblables ? Non. Sont-ils différents ? Non. Pendant que Hölderlin, sur les décombres de ses grandes odes et des dieux qui se sont retirés en emportant son nom dans le néant de leurs figures errantes, signe : Scardanelli, quelques quatrains qui traitent des quatre saisons de ce monde fini où reflue sa poésie, Stanislas Rodanski répond, du fond de son asile, à des enquêtes que lui fait parvenir François Di Dio, son éditeur du Soleil Noir, par des lettres qui sont la liberté en mouvement, la phosphorescence de mots qui étincellent en phrases qui ne s’arrêtent que pour rebondir ail...
Ressusciter à l'heure des fantômes
Article publié dans le n°1029 (01 janv. 2011) de Quinzaines
Le cours de la liberté
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