À une semaine du premier tour de l’élection présidentielle française, quelques tendances se dégagent même si tout n’est pas encore consolidé et même si les sondages, plombés par les erreurs commises sur le Brexit et sur l’élection de Donald Trump, suscitent méfiance et prudence interprétative. Parmi ces tendances, l’une des plus manifestes tient au statut peu à peu acquis par Emmanuel Macron, désormais crédité en moyenne de 25% des intentions de vote (ce qui le place selon les enquêtes au premier ou au second rang) et bénéficiaire d’un flot ininterrompu de soutiens hétéroclites. De maniè...
Une équation idéologique inédite
Article publié dans le n°1171 (16 avril 2017) de Quinzaines
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