Les éditions Verticales rééditent Grisélidis courtisane, un volume de trois entretiens recueillis par Jean-Luc Hennig au cours de l’été 1979, du printemps et de l’été 1981 (1). L’ouvrage provoqua alors des remous dans la mesure où Grisélidis y parlait sans pudeur de son métier. Sur sa lancée et par la même occasion, elle autorisa la publication d’un certain répertoire où étaient consignés les prénoms de ses clients ainsi que leurs préférences sexuelles… La « catin révolutionnaire » – c’est elle qui le dit – est morte en 2005. En 2009, ses cendres ont été transférées au...
Une exemplaire travailleuse du sexe
Article publié dans le n°1049 (16 nov. 2011) de Quinzaines
Mémoires de l'inachevé
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