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Mercure de France
« Je n’ai pas reçu la culture au biberon ». Entretien avec Nathalie Hadj
Velimir Mladenović : Nathalie Hadj, vous signez votre premier roman. Comment avez-vous débuté en littérature ? Quels sont les écrivains qui vous motivent ?
Nathalie Hadj : Aussi loin que puisse re...
Prélude à la jouissance
Voici un livre qui commence dans une salle de classe, in medias res. On est comme au théâtre, immédiatement requis. Un jeune homme, qui n’est pour l’heure qu’A., arrive en retard dans le cours de f...
Une étrange solitude
Ce roman aurait pu s’intituler Les Beaux Garçons, en écho aux Jeunes Filles de Montherlant. Le narrateur l’admet d’emblée : « Si je devais réfléchir à ce pour quoi j’ai commencé à écrire, je dirais...
Tendre est la vie
C'est sur l'hiver, métaphorique ou non, que s'ouvre Le Jardin sous la neige, livre placé sous la férule de Valéry, qui ouvre et clôt le texte, mais aussi écrit à l'ombre de Baudelaire dont on sent ...
Lettre à Philippe Sollers
Cher Philippe Sollers,
Je viens de refermer votre livre, Agent secret, paru récemment au Mercure de France dans la collection de Colette Fellous, « Traits et portraits ». Je me dis que ...
Les terres chaudes d’Yves Bichet
Nous sommes à Lyon, au soir du 24 de cet incandescent mois de fureur et d’utopie. Le commissaire Lacroix succombe sous les roues d’un camion fou, lancé par des enragés sur le pont Lafayette. Il y a...
Mme du Deffand entre lettres et le néant
Mme du Deffand dispose d’une référence : la marquise de Sévigné (1626-1696), qu’héritiers et correspondants divers commencent à publier. Le nom de Mme de Sévigné revient souvent sous la plume de la...
La tête au carré
Car il faut bien admettre que c’est d’abord une sacrée prise de tête, ce texte. Mieux vaut l’aborder à tête reposée, parce qu’il faut se la creuser profond, voire carrément se la casser, pour y com...
Paul Léautaud, diariste amoureux
Quelle est la cause de ce chagrin ? Il a nom Marie Dormoy. Elle est la protagoniste de ce Journal particulier, tenu par Léautaud en même temps qu’il noircissait chaque soir les pages du monumental ...
« Reprendre son bien à la religion »
Or, nul doute que ce grand poète, qui se savait alors parvenu au soir de sa vie, n’ait eu, en tous ces textes pourtant si pleins de son passé, le souci de nos matins. Nul doute qu’accueillant la nu...