Bernard Traimond : Pourquoi, dans ton dernier livre, Les Nouvelles Métropoles du désir, n’y a-t-il pas de communication verbale ?
Éric Chauvier : Il y a beaucoup de communication non verbale ; il n’y a pas de communication verbale, parce que la ville apparaît comme mutilée, privée de sa communication verbale. Elle n’existe que par la gestuelle, les signes de regard ; c’est un bar où la communication verbale n’a pas de sens, n’a pas d’usage ni de possibilité. C’est une façon de critiquer la ville.
BT : Pourtant, t...
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