Trouver Sylvie Turpin et son atelier est chose facile. Il faut juste, après avoir visité l’exposition qu’elle présente dans sa galerie d’Amilly, sortir de la ville, traverser des hameaux, passer à hauteur d’un calvaire et poursuivre en pleine campagne. Lorsque le GPS est muet, on est arrivé. Il ne reste plus qu’à descendre un chemin en pente. Les bâtiments de l’ancienne ferme, disposés en U, sont caractéristiques du besoin d’espace qu’une génération est allée satisfaire en province, dans les années 1980, parce que Paris était trop cher. Les cheveux courts, en jean et en doudoune, Sylvi...
D'atelier en atelier
Article publié dans le n°1120 (16 janv. 2015) de Quinzaines
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