À la fin de Re :Walden, sur le grand écran qui ferme le fond du plateau, apparaît une surface d'eau mouvante. Elle évoque immédiatement une projection comparable sur le rideau de scène, au passage d'un acte à un autre, dans Le Canard sauvage. Mais les flots semblent limpides et paisibles dans le premier cas, quelque peu troubles et jaunâtres dans le second.
La forêt est également présente dans les deux salles de la Colline. La scénographie de Stéphane Braunschweig s'ouvre, au lointain, sur une plantation d'épicéas. Le spectacle de Jean-François Peyret fait...
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