Quatre parties dans ce recueil, quatre mouvements, qui épousent le quatrain. Avec une forme extrêmement brève, François Cheng arrive au cœur de l’écriture et de la vie. Les titres des mouvements de cette Suite orphique semblent subsumer à eux seuls l’ensemble de l’expérience humaine et plonger dans un présent que déborde l’éternité : « Aux vivants et aux morts » ; « À la vie d’ici » ; « Au Divin » ; « En créant au sein de la Voie ».
À qui le poète s’adresse-t-il ? À sa mère, à qui le recueil est dédié ? À sa femme ? Est-ce un couple do...
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