En septembre, aux Etats-Unis, un pays où il ne s’était jamais soucié d’aller et qu’il doit considérer comme l’antithèse de la sobriété heureuse, le pape François a effectué une tournée sans faute, ralliant les différentes étapes de son parcours new-yorkais dans une petite Fiat 500 qui valait dix homélies. Ses discours au Congrès et à l’ONU ont apporté une contribution importante à la préparation de la COP 21 de décembre. François a saisi l’occasion unique que lui offre l’écologie : entrer de nouveau en dialogue avec les sensibilités contemporaines qui, généralement, se soucient du cathol...
François et François
Article publié dans le n°1138 (01 nov. 2015) de Quinzaines
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