L’ennui, qu’à toute force le monde moderne veut chasser, révèle pour Grozdanovitch les affinités qui se nouent, grâce à la langue française, entre le « temps qu’il fait » – le Wetter des Allemands – dont, en météorologue amateur, il note les variations, et le « temps qui passe » – die Zeit, comme on sait depuis Heidegger –, cette « durée », ce temps vécu à intensité variable dont il a découvert le concept en lisant avec passion Bergson à la bibliothèque Sainte-Geneviève...
Le temps qu’il fait : c’est la grisaille « qui...
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