La poésie de ce recueil tire son énergie singulière de quantités de sources : littéraires (Hannah Sullivan enseigne la littérature anglaise à l’université d’Oxford) mais aussi philosophiques et scientifiques.
Le premier des trois poèmes, intitulé « Toi, très jeune à New York », est narratif et raconte le séjour à New York d’une jeune femme qui travaille dans une société où elle est « censée remédier aux inefficacités des processus en ligne, / Gérer le multicanal, veiller à la gestion des petites entreprises ». La narration se centre bientôt sur l’épisode des ret...
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