Solitude à Bruxelles. C’est ce que je pense dans l’enfance à la lecture de Rimbaud qui y publie Une saison en enfer, à la lecture de Lautréamont lorsque je découvre Les Chants de Maldoror,édités à Bruxelles, ou de Stéphane Mallarmé qui va y lire son hommage à Villiers de l’Isle-Adam, à la lecture de Victor Hugo, qui s’y exile, ou de Charles Baudelaire « en passant considérable ».
Avec Magritte de Louis Scutenaire m’introduit dans la même crainte. Solitude à Bruxelles quand le jeune peintre s’installe dans une métropole aujourd’h...
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