Si l’on y reconnaît un cocktail de BD, de polar, de séries télévisées, c’est qu’on est là pour se distraire si bien qu’on trouve toute naturelle la vue panoramique sur la ville faite pour tourner la page sur une séquence qui s’achève : « Elle était retournée se poster devant la baie vitrée. Des fenêtres éclairées partout dans Paris. Derrière, elle imaginait de passionnants destins, avec des personnages qui débarquaient, d’autres qui s’éclipsaient, et des enfants nés de la veille, tombés du ciel, venus d’ailleurs (…). Les ruisseaux de voitures, blancs, rouges, et les projecteurs des b...
L'amour, c'est gênant
Article publié dans le n°1027 (01 déc. 2010) de Quinzaines
Tibère et Marjorie
(Seuil)
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)