Plusieurs chercheurs comme Stanislaus von Moos, Jean-Louis Cohen, Guillemette Morel-Journel, Christine Boyer… ont traité de ce que j’appellerai la rage de l’architecte d’être reconnu comme « homme de lettres » ; parfois jusqu’à imiter les styles de Cendrars, de Valéry, de William Ritter, de Renan et d’autres. Peu importe : ce premier livre de Jeanneret et ultime livre de Le Corbusier, au-delà des prétentions d’écrivain, appartient à plusieurs genres littéraires : récit sinon guide de voyage de l’Europe centrale, des Balkans et de la Grèce, autobiographie précoce, confessions, écrit « pré...
Le Corbusier voyageur
Article publié dans le n°1065 (16 juil. 2012) de Quinzaines
Voyage d'Orient 1910-1911
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