Le publiciste y évoque en quelques lignes un auteur éloquent, mais qui aurait fait un mauvais usage de ses talents, ce qui imposerait de n’en point parler. Indication conclusive cocasse, le journaliste ajoutait encore : « Il y a tout lieu de croire que le public ne sera pas privé de sa vie et qu’on y trouvera jusqu’au nom du chien qui l’a tué. » Ce petit rappel utile d’une circonstance surprenante de l’existence de Rousseau – sa disparition annoncée avant l’heure dans les colonnes d’un périodique et la préfiguration du sort posthume de certains de ses écrits –, figure dans ce que l’on ap...
Le dernier Rousseau
Article publié dans le n°1036 (16 avril 2011) de Quinzaines
Politique du renonçant. Le dernier Rousseau des Dialogues aux Rêveries
(Kimé)
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