Jacqueline Risset, par sa traduction et par les essais qu’elle a consacrés à l’auteur de La Divine Comédie, a contribué à « dépoussiérer » Dante, à le replacer en avant de nous, en avant d’Ezra Pound et de T. S. Eliot, de Joyce, Beckett, Mandelstam ou Borges, de Pasolini ou de Primo Levi, qui furent au XXe siècle de grands lecteurs de Dante. Un élan que partage Carlo Ossola en affirmant que les écrivains sont ceux qui ont le mieux interprété et le mieux compris Dante. Déplorant un déclin des études dantesques dans les universités italiennes, il reconnaît même aux lect...
Le paradis n’est pas tout dans mes yeux
Article publié dans le n°1165 (16 janv. 2017) de Quinzaines
L’Introduction à La Divine Comédie
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)