À partir de l’édition de Françoise Rétif, Toute personne qui tombe a des ailes (Poésie/Gallimard, 2015), les choix de Barbara Hutt se sont portés davantage sur l’œuvre de la maturité, le second recueil de poésie, Invocation de la Grande Ourse (1956), et des poèmes de 1962 à 1967, avec quelques extraits de Malina. Aucun des poèmes, par exemple, du premier recueil, Le Temps en sursis (1953), n’a été lu. Je m’en tiendrai donc à ces partis pris, qui nous invitent à plonger dès le départ, in medias res, sans sursis, dans le cœur même de l’œuvre, so...
Lecture musicale d'Ingeborg Bachmann
Article publié dans le n°1152 (01 juin 2016) de Quinzaines
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