Martial Poirson : Ton appartenance à la troupe de la Comédie-Française, cette Maison de Molière, induit un rapport très particulier à celui qu’on y appelle encore communément le Saint Patron, et qui en est considéré, à titre posthume, comme le premier sociétaire. Un mélange de dévotion et d’émulation chez un artiste tel que toi, qui porte les casquettes à la fois de comédien et de metteur en scène, au théâtre comme à l’opéra, dont Molière est aussi un devancier ?
Clément Hervieu-Léger :
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