« J’ai été témoin de la plus effroyable défaite de la raison », écrit Stefan Zweig dans Le Monde d’hier. Exilé au Brésil, Zweig témoigne dans cet ultime ouvrage, achevé peu de temps avant son suicide en 1942, de ce qui a pu mener le monde à l’horreur qu’est le nazisme.
Sort ces jours-ci en salle un thriller politique dont le titre reprend celui de Zweig. C’est l’auteur-compositeur-interprète, écrivain, dramaturge, scénariste, metteur en scène et réalisateur Diastème qui revient avec un quatrième film politique très engagé. Il veut poser la question de la montée ...
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