Freedom, le dernier roman de Jonathan Franzen, salué par la critique et vendu aux États-Unis à un million d’exemplaires, aurait enthousiasmé, paraît-il, jusqu’au Président Obama, qu’on imagine pourtant occupé à des tâches plus importantes que lire 562 pages (718 en français) de prose inane. Parce qu’en effet Freedom n’a rien pour le recommander tant il n’est, pour paraphraser Buffon, « ni bien pensé, ni bien senti, ni bien rendu ». Ratage d’autant plus flagrant que le livre, comme les propos de l’auteur lors d’interviews, indique le modèle littéraire avec lequ...
Poussive liberté
Article publié dans le n°1046 (01 oct. 2011) de Quinzaines
Freedom
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